Oh oui mon Xavier vas y baise moi…
EIle a souri, ses mains ont écarté ses grandes lèvres gonflées pour libérer les petites et sortir son long clitoris, dans une respiration lourde et suave. J’étais scotché, J’ai eu l’impression de sentir les exhalaisons de sa chatte. Je me suis repris et je suis allé m’allonger entre ses jambes écartées. Mon regard alternait entre sa chatte fournie et son visage, je lui léchais la foufoune, elle répétait : « Oh oui mon Xavier » sans conviction, comme si elle était blasée, comme si elle connaissait déjà l’amant que j’étais, comme si elle avait déjà tout vu.Avec ma langue, j’ai câliné son clitoris, ses petites lèvres molles et douces, j’en avais plein la bouche…..